Jour 25 : Retour à Dakar (300km)

Etape 10 : Banjul-Dakar (300km)

La petite soeur de Gemma rentre elle aussi à Dakar, on sera donc 3 sur le chemin du retour.

On quitte de bonne heure car on ne sait pas combien de temps le bateau va encore nous faire perdre.

Encore de l'attente pour prendre le bateau à Banjul

Il fait super chaud et la journée d’hier a été épuisante, nos têtes font peur à voir ! C’est reparti pour une longue attente au bac, pour traverser le fleuve Gambie.

Le Sénégal récupère beaucoup de choses (dont les voitures) qu’on n’utilise plus en France. En Gambie c’est le même phénomène mais avec l’Angleterre. On passe devant un vieux bus anglais retapé par les autochtones.

Un bus en Gambie

Comment ne pas remercier Sékou et Mohamed du Sierra Leone, qui nous ont mis plus qu’à l’aise durant ces 2 jours!

Mohamed & Sékou les deux sierra léonnais

Au moment d’embarquer, une cohorte de piétons se met à courir en direction du bateau alors que les responsables de l’embarquement me somment d’avancer.

Enorme foule devant l'embarcadère du bateau à Banjul

Ils crient comme des fous alors qu’il y a des gens devant. Je suis censé faire quoi?? Tous les écraser??

Panneau d'arrivée à Barra en Gambie

Conclusion Gambie

J’ai quelques regrets d’être passé si vite dans ce pays.

Une chose est sûre j’ai été charmé par l’accueil des gens et leur « broken English » souvent très drôle.

On a malheureusement pas eu le temps de visiter la ville ni le pays mais cette première expérience montre bien à quel point l’influence du pays colonisateur a joué sur les mentalités des gens.
En effet les gambiens qui sont censés être les mêmes que les sénégalais n’ont rien à voir avec leurs voisins. Autant dans leur façon d’agir que dans leur façon de penser.

D’ailleurs Sénégalais comme Gambien adore se chambrer entre eux sur ça.

Panneau NO PAKRING dyslexie